Le Yoriki sortait de ses affaires pour prendre un peut l’aire dans les quartiers de Toshima. Il était grand temps qu’il prenne un temps pour lui et un petit détours dans un restaurant dans ce quartier à nombre de personnes hétéroclite. Pour une journée d’hiver, le ciel était plutot dégagé hornée de quelque petit nuage blanc offrais une température plus agréable que les dernier jours froid ou l’ont craignais de sortir trop longtemps. Le jeune samouraïs attacha alors son cheval, frotta ses mains tout de même bien froides, tout en observant le nuage humide provenant de sa bouche laissant constater que le froid n'était tout de même pas très loin. En tout cas, rien que le soleil éclairant largement la capitale, avait encouragé plus de monde à sortir.

Le petit restaurant était animé aujourd’hui, peut-être même un peu trop. L’ homme s’installait alors comme à son habitude dans un des coins de la pièce, toujours observateur de la situation. Quelques hommes, plutot fort physiquement et peut discret parlait largement plus fort que nécessaire pour que clairement chaque personne présente dans le petit cabanon comprennent clairement ce qui se passait. Peut-être n'avaient-ils pas vu que le chef d’un Hirajiro prendre place, ou peut-être n’en avaient-ils rien à faire. L’un d'eux s'exclama à haute voix, brayant de tout son souls après le restaurateur polis et craignant des représailles. Après tout, il n'était pas rare que des malandrin s'entraident pour faire des misère au commerçant qui physiquement ne tenait pas le coups. Les plaintes au commissariat étaient régulières mais pas sous sa direction. Pour autant Shinji etait un homme juste et capable d’agire au besoin. Quoi qu’il en soit l’un d’eux s’exclamait haut et fort donc.    

« Alors le vieux !!! Qu'est-ce que tu vas faire hain ?! Tu vas nous arrêter pour nous obliger à payer peut-être !!! Vas-y le vieux ! On te regarde !!! »

La tension présente n'allait pas en s’appaisant, bien au contraire. Un étranger avait rejoint sa table demandant tout comme le jeune Yoriki à être servi. Bien entendu les malfrats avait très bien compris à qui il pouvait entre guillemet s’en prendre et à qui il ne pouvait pas. Certains membres du Metsuke fermaient les yeux quant aux agissements de certains petits voyous de leurs genre, il avait donc tout intérêt de tenter quand même leurs chance même en présence d’un d’eux. Ou bien ne l’avait t’il toujours pas vue, probable aussi tant Shinji était un homme connu pour sa discrétion. Quoi qu’il en soit donc, un étranger demandait à être servis ce que la serveuse s’empressa, bon gré mal gré de faire ce malgré les menaces du cuisinier ou bien des malfrats. Celle-ci avait compris qu'elle serait punie par son mari si elle ne l’écoutait pas, mais qu'elle risquait des problèmes si elle allait au devant des brutes en salle. Elle arrivait donc à hauteur de l'inconnue qui avait commandé puis comme prévue elle se fit agresser par les brutes.

Shinji s'empara alors de l’arme à sa garde, toujours dans son fourreau pour limiter les bain de sang qui pouvait être éviter, mais l’etranger ne mis que peu de temps à réagir. Il frappa alors un des gaillards qui était présent puis sortit son arme. La situation dégénérait bien assez vite suite à cela car les brigands outrer d’une telle menace ne virent alors pas un détail plutôt frappant. L’etranger, peu importe qui il pouvait bien être, avait une certaine maîtrise de son sabre et les coups assainer plus tôt indiquaient une certaine dextérité dans le geste. Ce n’etait pas un étranger banal qui sortait le sabre pour fanfaroner mais bien une personne doter de certaine capacité et pret sans aucun doute à en découdre pour régler son different avec les personnes qui venait d’agresser la femme inocente.

L’un d’eux étant au sol, heurter de plein fouet au visage, il reprit ses émotions avant de sortir un tanto de sa ceinture, caché sous une couche de vêtement. Les autres quand à eux commençais dors et déjà à charger l’inconue pour se venger, laissant choir au sol la pauvre femme. Le Yoriki compris rapidement que la situation allait rapidement tourner au drame et s’interposat dans la mêlée pour en frapper un à la tête avec l'étui de sa lame, ce dans le but de l'assommer. Le mouvement précis prouvait sans aucun doute sa haute maîtrise de l’arme et du combat. Il était serein même si peu à peu son rythme cardiaque augmentait. L'adrénaline de gérer au maximum pour que personne ne soit blessé venait alors d’augmenter. Il aurait sans doute pu agir plus tôt mais il n’avait pas prévu que la situation prendrait une tel empleure en si peu de temps. L’etranger était un facteur aggravant de la situation mais il fallait bien faire avec.  

« Tout le monde dehors! Vous, arrêtez sur le champ! Etranger attention derrière vous! »

Il en venait encore d’autre qui s'était installé dans la salle sans broncher sans doute des renforts discrets qui étaient là en cas de pépins. Ce groupe était plutôt bien organisé pour un simple repas, sans doute étaient-ils déjà tombés sur des compères dans le quartier qui semait le trouble et à qui il fallait rendre des comptes. Shinji avait une très bonne perception de ce qui l'entourait, à l'affût du moindre détail. La pression du combat ne faisait qu’exacerber cette capacité, ce qui il fallait l’avouer était plutôt pratique dans le cas présent pour tenter de mettre hors de danger la personne qui avait mis le feu au poudre.

L’étranger faisait preuve d’une certaine vivacité ce qui était assez surprenant mais aussi d’un coup d'œil rapide, Shinji put percevoir un simple détail. Il était difficilement perceptible, mais quelques mèches de cheveux plutôt longues n'allaient pas être un indice suffisant pour en déterminer la véracité. Nombreux étaient les hommes aux cheveux longs, lui-même en était sans aucun doute la preuve. En revanche, un visage si fin, plus fin encore que le plus efféminé de tous les Oyama, acteur féminin de kabuki, fit prendre conscience au jeune Yoriki que l’étranger combattant était plutôt une étrangère. Et celle-ci était plutôt douée il fallait bien l’admettre. Une éducation acharnée était capable de fournir une telle vivacité et efficacité. Ce n'était pas le moment de se poser la question car les assaillant barbares n'étaient pas patient de voir le Yoriki se questionner sur le genre de l’agresseur agressé. La femme etrangére se projettat sur sa gauche sans doute pour stoper net l’homme qui venait de se lever en renfort. Le soucis étant, Shinji se trouvait avec un homme face à lui et un autre sur sa gauche en train de se relever pour attaquer par derrière celle qui l’avait renversé. Le bougre passa son bras sur son visage pour essuyer le sang qui coulait de la bouche sans doute dû au choc contre sa mâchoire plus tôt. Il avait donc sorti un poignard de sa ceinture et il était donc urgent de finir celui-ci mais aussi de s’occuper de celui qui était plus baraqué qui s'était mis à courir sur lui. Shinji fit un choix, celui de s’occuper de sa propre vie avant celle de la femme. Elle semblait expérimentée, ou en tout cas suffisamment pour en gérer deux à là fois donc un sonner et l’autre qu’elle venait d’attaquer.

Le Yoriki se mis en posture d’attaque puis fonça de nouveau sur l'ennemi, une attaque de front le sabre toujours dans son fourreau mais bougrement efficace si le coups était suffisamment fort et bien placé. Shinji comptait sur le fait qu’à force il persuadés les bougre d'abandonner pour éviter de se prendre une réelle racler. Proche de sa cible, les genoux fléchis il s'abaisse suffisamment pour que le regard droit de l'ennemi, surpris par un tel comportement, n’arrive à suivre le mouvement et se fasse d’une certaine manière surprendre par le coups en plein dans la colonne vertébral par un retour de lame. Heurter il s’effondra bêtement se prenant au passage la planche du comptoir dans le visage, contribuant d’autant plus à l'arrêter un temps. En revanche l’autre homme face à lui n’avait pas attendu gentiment son tour et s'était approchée de Shinji coupant une partie de sa manche au passage. Il ne s'agissait pas d’une simple baston de restaurant. L’autre avait très bien compris d’autant par le symbole sur son vêtement, que sur le symbole sur son arme, que face à lui ce n'était pas un samourai de bas étage, un Yoriki lui faisait face et malgré tout il fonçait sur Shinji pour tenter de lui planté dans le ventre sa lame. Shinji l'esquive de nouveau de peu, mais se prend tout de même une taillade sur le flanc, laissant couler le sang chaud sur ses vêtements découper. Les limites étaient dépassées, les hommes ne se contentaient pas de se défendre ou de menacer mais bel et bien de tenter de tuer. Shinji fronçais alors les sourcils avant de dégainer rapidement son sabre laissant tomber au sol la gaine qui jusque-là protégeait la lame ou plutôt protégeait les idiots d’un tranchant redoutable. La lame parvient rapidement d’un geste technique et fluide à atteindre le bras au niveau du coude, celui qui tenait l’arme qui l’avait fait saigner, même si pas beaucoup. Un découpage net et franc fit hurler l’homme avant de partir comme une fury en direction de la porte, étalant le liquide rouge un peut partout sur son passage et heurtant péniblement tous les meubles sur son passage.

Les vilains prirent rapidement conscience qu’il n’etait pas tomber sur les deux individu les plus simple à impressioner mais aussi et surtout, les plus simples à maitriser. Les pauvres vicitmes qui était quelque seconde avant agresseurs s’enfuirent alors en vitesse de l’échoppe et sans doute ne reviendrait’il pas d’ici un bon moment. Sans doute la crainte de retomber sur le Yoriki mais aussi de se dire que de cherchez des noises au individu inconnue et bien camouflé pouvais caché des choses bien particulière. Le sabre ranger dans son foureau sans même avoir pris le temps de le nettoyer allait sans doute l’embéter plus tard mais actuellement il avait d’autre préocupation quant à son état actuel. La main droite vin faire pression sur la plait douloureuse puis les dent grinssante il étouffat tant bien que mal un petit soupire de douleur. L’inconue vint le saluer brievement avec politesse puis le remerciat pour son aide tout en s’inquiétant du sang qui impregnait plutot vite les vêtement de Shinji.

« Ce n’es pas tres grave, tout vas bien il faut simplement stoper l’ecoulement de sang… Il n’es pas tres rapide, ça iras. Ne vous en faites pas monsieurs, j’enverais des hommes pour s’occuper de votre échoppe et rembourser les degats de ses vilains. »

Il c’etait adresser au propriétaire ce dans l’optique d’etre polis même si il fallait avouer que ce n’etait pas sa priorité actuellement. L’adrenaline produite par le choc aidait sans aucun doute le Yoriki à ne pas trop ressentire la douleur de la plaie mais aussi et surtout il tenais encore debout malgré tout. En effet l’entaille n’etait pas très profonde mais ce n’etait pas tant celà le soucis. La lame n’etait peut etre pas très seine mais il fallait stopper la perte de sang ou c’est les pomme que Hironobu allait retrouver. Heureusement pour lui, il n’etait pas seul, l’étrangère se saisie de son bras pour l’aidé à prendre la direction de la sortie péniblement car peut importait le niveau d’adrénaline, il ne pouvais tout de même pas péniblement s’appuyer sur la jambe du coter de la plaie. Il se laissait donc faire remarquant la force tout de même apreciable de la jeune femme qui le soutenait. Elle voulais sans doue l’aider pour compenser le coup de main qu’il lui avait apporter, même si dans les faits ce ne serait sans doute pas arriver si elle n’avait pas provoquer les bougres présent ce jours.

« Allons chez moi plutot, je n’ai pas envis d’inquiéter qui que ce soit avec ma blessure. J’ai ce qu’il faut pour ce genre de plaie. Vous savez montez à cheval ? Si ce n’es pas le cas, c’est le moment d’apprendre … Ma demeure n’es pas à côter. »

Aec peine arriver au niveau du cheval de Shinji, celui ci passa sont pied à l’étrier puis demandas d’un signe de tête à sa compagne du jours de l’aider à passer par dessus son autre jambes afin de s’installer en retrait de la selle Il tendit la main à la dame pour l’inciter à monter attendant de voir si elle savait ou non monté…

L’étrangère parus fortement tendu et sur le qui vive. Shinji l’avait déjà remarqué même si actuellement il n’y faisait guère attention. Elle avait sans doute quelque chose à se reprocher et au vue de son accoutrement, elle n'était pas une habitante lambda d’Edo. Quoi qu’il en soit ce n'était pas le moment de poser des questions, il y avait bien mieux à faire. Pour l’instant, elle était suffisamment gentille pour avoir aider le maître de l'échoppe et l’avoir aidée. Il ne pouvait pas faire confiance à tout le monde bien entendu et l’autre restait évidemment suspecte mais il fallait bien avouer qu’un coup de main ne serait pas de trop. Sans doute pour le moment n'était il pas en bonne posture même si pas totalement achevé, pour se défendre convenablement. L’étrangère montat donc à cheval, de manière peu conventionnelle et surtout encore plus à l’arrière de notre blessée. Celui-ci en conclut rapidement que peu importe si son cheval pouvait être le plus calme de tous les temps, elle ne se sentait pas la trempe de le conduire elle-même jusqu’à bon port. Shinji s’avança donc pour libérer un peu plus le postérieure du canasson afin que tous deux soit correctement installé et dans une posture plutôt stable. La douleur devenait de plus en plus présente et il n'allait pas falloir longtemps avant qu’elle ne devienne réellement handicapante.

« Accrochez vous, en route ! »

les talons claquaient sur les flanc de l’animal qui réagit au quart de tours, il ne passait même pas par toutes les allures au se lançait alors au galop. Pour sa part, la douleur rigidifiant un peu son corps, il lui était compliqué de suivre le mouvement avec le bassin. En revanche pour notre amie l’étrangère il devait en être tout autre, les coups de cul produit par le galot devait secouer asser pour déshéquilibré la jeune femme mais pas suffisament pour qu’elle tombe, surtout si elle s’accrochait bien au Yoriki. Ceci-dit l’homme ne laissait pas dans une posture inconfortable l'inconnue. Il prit la peine de lui expliquer comment faire pour mieux apprécier la balade sans se faire balader sur le cul du cheval bondissant.

« Pour rester stable au galop, il vous suffit de suivre la cadence du cheval avec vos hanches, il n’y à que votre bassin qui doit bouger d’avant en arrière au rythme des pattes sur le sol. Cela vous évitera de m'agripper et que vous nous déséquiliriez tous les deux. Vous allez voir, avec cette information, cela va vous venir tout seul comme si vous l’aviez fait toute votre vie. »

Hironobu ne disait pas cela simplement pour l’aider à tenir sur le cheval mais aussi et surtout pour qu’elle relâche la prise qu’elle avait sur lui et le fait qu’elle ne le tienne finalement pas si bien à cause des remous. Le conseil donné était clairement suffisant et faisait mouche à chaque fois. Sans cette petite information il était dur de tenir un galop confortable, surtout pour les hommes à qui les entrejambe souffrait autant qu’au trop dans cette posture. Pour ce qui était de gérer la vitesse du cheval c’etait une toute autre éducation mais si déjà la jeune femme pouvais être stable, cela serait déjà un bon début.

« Quel est votre nom, comment puis-je vous appeler ? »